Henriette Browne |
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Une prisonnière greque Soucieuse de séparer son travail de peintre de son rôle d’épouse de diplomate, Sophie Bouteiller, née à Paris, prit le pseudonyme de Henriette Browne. Ses nombreux voyages en compagnie de son époux nourrissaient son inspiration : elle peignait aussi bien des scènes religieuses qui évoquent le rôle civilisateur et missionnaire des Occidentaux que des harems, des danseuses orientales ou des portraits de femmes « exotiques ». Browne débuta au Salon de 1853, mais c’est en 1861 qu’elle devint célèbre en exposant un harem. |
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